Au premier semestre, une hausse des prix de l’immobilier de 2,3% a été observée en France, à cause notamment de la forte demande qui soutient le prix de la pierre. Ces cinq dernières années, le volume des ventes a connu un progrès de 41%, alors que celui du parc a enregistré une hausse de seulement 5%.
Les prix de l’immobilier toujours en hausse
Les agents immobiliers se félicitent certainement du dynamisme actuel du secteur immobilier en France. Les prix qui ne cessent d’augmenter durant les six premiers mois de l’année ne peuvent en effet qu’être fructueux pour les opérateurs. Selon un expert en investissement immobilier, l’activité reste stable même à plein régime, et la hausse est contenue à 2,3%. Certes, les ventes ne vont pas atteindre les mêmes chiffres qu’en 2017 pour la plupart des agences, mais elles ne seront pas non plus très loin. En cinq ans, une hausse de 41% du volume des ventes a été observée, contre seulement 5% celui du parc. La rotation des biens semble donc s’accélérer, avec 2,6% de l’ensemble des logements mis en vente cette année contre 2% en 2013, soit une hausse de 30%.
La hausse des prix concerne toutes les régions
Les logements gagnent en valeur dans la plupart des régions, sans toutefois dépasser les sommets atteints au cours du premier semestre de 2011. Certaines villes montent sur le podium cette année, pour la première fois, comme Lyon, Auvergne-Rhône Alpes et Dijon qui connaissent un progrès de 3,1% à 5,8%. Les prix sont en outre à la baisse dans d’autres régions comme le Centre Val-de-Loire et les Hauts-de-France qui connaissent un recul respectif des prix de 3,6% et 5%.
A Bordeaux, la hausse est soutenue à 5,8% après avoir flambé de 12% en 2017. Dans la capitale bordelaise, les acheteurs (20%) viennent majoritairement de l’extérieur, notamment de Paris (12%). Ils sont pour la plupart attirés par le dynamisme économique de la ville ainsi que l’arrivée d’entreprises connues comme Betclic dans ses quartiers populaires.
L’immobilier toujours aussi cher à Paris
Si aux alentours, les prix de l’immobilier tendent à redevenir raisonnables comme à Toulouse où le mètre carré dans l’ancien coûte désormais entre 3 000 et 3 500 euros, voire 4 000 euros dans le neuf, Paris reste toujours aussi cher. Dans la capitale, le prix moyen du mètre carré atteint 9 360 euros fin juin, soit une hausse de 5,2% en un an contre 7,3% à fin 2017. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter, surtout avec l’arrivée de centaines de cadres de banques chassés de Londres par le Brexit, débarquant à Paris avec d’énormes budgets. A Paris, les biens vendus à plus de 1,5 millions d’euros représentent seulement 5% du marché. Mais ils restent inaccessibles aux ouvriers, employés, commerçants et autres artisans locaux. 46% des acheteurs sont d’ailleurs représentés par des cadres supérieurs et autres professions libérales.
L’immobilier toujours aussi accessibles à l’île Maurice
A l’île Maurice, les prix de l’immobilier neuf restent toujours aussi accessibles. Dès 500 000 $ (soit environ 429 720 euros, un ressortissant étranger peut s’offrir une résidence luxueuse ou un appartement luxueux, avec vue sur l’océan. De plus, pour un achat supérieur à ce montant, sous le régime PDS (Property Development Scheme), il peut obtenir un permis de résidence sur le territoire. Le gouvernement mauricien propose également une fiscalité très allégée aux étrangers, avec un seul impôt à payer, en cas d’un investissement locatif : l’impôt sur les revenus fixé à 15%. Sans oublier les magnifiques plages, les paysages idylliques et les multitudes de sports nautiques et terrestres possibles à l’île Maurice. De quoi oublier rapidement à quel point les prix de l’immobilier sont chers à Paris.
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